Cette rubrique à vocation de conclusion porte le nom d’exorde car le travail de recherche et d’écriture qu’a représenté le mémoire s’apparente bien à une introduction, et je n’ai pas l’envie de clore ce débat intérieur. Dans l’idéal, «Toiles» serait amené à être continué et à se déployer, dessinant un réseau toujours plus foisonnant. Ce mémoire non-exhaustif est un work in progress.
Cette rencontre hasardeuse avec Pink Dot m’a permis d’aborder des sujets dans des sphères qui se croisent parfois et forment des combinaisons pouvant être approfondies. Le point de départ était le caractère pictural de la vidéo, ce qui m’a amenée vers d’autres questions comme la matérialité d’une image numérique, ses conditions d’existence sur internet, qui sont elles-même régies par notre manière de les consommer ; les politiques marketing des images comme valeurs culturelles devenant produits culturels.
Ces recherches m’ont poussée à creuser des références qu’auparavant je survolais, à me renseigner sur leurs écrits, leur histoire ; le mémoire m’a appris à travailler avec plus de profondeur. Et grâce à ce travail fourni de documentation et de discussion avec des étudiants et des professeurs, j’ai pu découvrir un bon nombre de nouveaux noms d'horizons différents (poètes, artistes, journalistes, développeurs web, juristes, économistes, acteurs etc.) qui m’ont accompagnée dans ce périple de quatre mois.
Il est amusant de constater que l’ensemble des sources dont je me suis servie sont représentatives de cette idée de carrefour de pensées qui est le sujet de «Toiles» : certaines étaient déjà en moi, stockées dans un coin de mon crâne ; d’autres furent provoquées par des rencontres extérieures, indépendantes de ma volonté mais pourtant redirigées/redigérées après ; enfin certaines étaient le pur fruit d’un hasard , et ce sont certainement ces dernières qui seront toujours à la base d’une réflexion ultérieure. Souvent hagard après ce type de rencontre, il y a, au fond, quelque chose qui s’enflamme.
Cette rencontre hasardeuse avec Pink Dot m’a permis d’aborder des sujets dans des sphères qui se croisent parfois et forment des combinaisons pouvant être approfondies. Le point de départ était le caractère pictural de la vidéo, ce qui m’a amenée vers d’autres questions comme la matérialité d’une image numérique, ses conditions d’existence sur internet, qui sont elles-même régies par notre manière de les consommer ; les politiques marketing des images comme valeurs culturelles devenant produits culturels.
Ces recherches m’ont poussée à creuser des références qu’auparavant je survolais, à me renseigner sur leurs écrits, leur histoire ; le mémoire m’a appris à travailler avec plus de profondeur. Et grâce à ce travail fourni de documentation et de discussion avec des étudiants et des professeurs, j’ai pu découvrir un bon nombre de nouveaux noms d'horizons différents (poètes, artistes, journalistes, développeurs web, juristes, économistes, acteurs etc.) qui m’ont accompagnée dans ce périple de quatre mois.
Il est amusant de constater que l’ensemble des sources dont je me suis servie sont représentatives de cette idée de carrefour de pensées qui est le sujet de «Toiles» : certaines étaient déjà en moi, stockées dans un coin de mon crâne ; d’autres furent provoquées par des rencontres extérieures, indépendantes de ma volonté mais pourtant redirigées/redigérées après ; enfin certaines étaient le pur fruit d’un hasard , et ce sont certainement ces dernières qui seront toujours à la base d’une réflexion ultérieure. Souvent hagard après ce type de rencontre, il y a, au fond, quelque chose qui s’enflamme.